Collection Escorte. La Cravache D’Or (1/1)

Cent mètres et j'ai la cravache d’or.
Aie, que m’arrive-t-il, je tombe, ma selle se dérobe sous mon poids pourtant plume.
Je suis jockey professionnelle.
Je m’appelle Betty, j’ai 22 ans, je suis dans le milieu des courses depuis mon adolescence ou ma petite taille et mon poids léger a intéressé un entraîneur de la région normande.
La seule contrainte a été l’obligation de me lever à l’aube pour entraîner les chevaux.
Depuis que je suis petite, c’est une image, j’ai une taille de 1,38 pour 36 kilos, j’ai appris que ma croissance était arrivée à son maximum.
Moins de 1 mètre 40 on pourrait considérer que je suis naine, mais c’est un problème à ma puberté qui a arrêté ma croissance.
J’ai tout ce qu’il faut là où il faut au niveau de mes seins, ainsi que mes jambes qui sont harmonieuses ainsi que mes bras.
Bref, je suis une jolie petite poupée blonde qui fait bander les hommes et les chevaux.
Ça c’est une boutade, il arrive à certains étalons de montrer leur attribut.
Nous avons remarqué qu’il aimait certaines jolies femmes.
Ça fait partie de l’humour des garçons dans ce milieu de macho.
Dès que l’un d’eux est en érection, ils s’empressent de nous dire que c’est nous qui en somme la cause !

Depuis le début de cette saison, tout roule pour moi, je gagne de nombreuses courses sur de nombreux champs de courses.
Pour une course à handicap, je suis toujours celle qui met le plus de poids sous sa selle.
Mais je gagne tout de même, car incontestablement je suis la meilleure.
Aujourd’hui je suis au départ de la dernière course déterminant la « cravache d’or ».
C’est l’emblème convoité par tout jockey et qui lui sera remis lors d’une cérémonie où le milieu du turf se réunit.

Bob qui court pour une casaque différente de la mienne, a un point d’avance.
De nous deux, celui qui gagne, remportera le trophée.
Yves Saint-Martin, le plus grand crack jockey en a gagné 15 sur les courses de plat.


Pour moi ce serait la première et surtout pour une femme.
J’ai parlé de ce milieu macho mais pour qu’un propriétaire nous confie son cheval, il a fallu des années, alors je veux tout faire pour le satisfaire.
Bob est le tenant de la cravache, il a gagné sans concurrence forte l’an dernier.

- On m’a balancé, monsieur Lucas, j’allais gagner.
- Les commissaires ont visionné plusieurs fois la bande, tu déchausses et tu tombes, rien d’anormal Betty.
Par compte, ils t’ont fait des radios pendant ton coma, remonter et courir, tu prendrais trop de risques pour ta colonne vertébrale.

Le ciel me serait tombé sur la tête, pire c’est impossible.
Les études et moi ça fait deux et ce que j’ai gagné depuis que je cours serai insuffisant afin de me permettre de vivre le reste de ma vie même si je suis une fourmis.

- Betty, remets-toi, quand tu seras en état, j’aurais une proposition à te faire.
- Merci monsieur Lucas, je vais faire le nécessaire pour être debout le plus vite possible.

Quelques semaines plus tard, monsieur Lucas, célèbre entraineur me reçoit dans son bureau, je suis fière d’être son employée.
Comme d’habitude, hors des courses où j’étais en tenue de jockey, je suis en jean et basket avec un débardeur.
Les baskets remplacent les bottes de monte que je portais en permanence.
Monsieur Lucas est derrière son bureau un gros cigare fumant dans son cendrier.

- Betty, avec mes nombreux associés, nous avons quelque chose à te proposer.
Il nous manque une personne en qui nous pourrions avoir toute confiance et qui nous soulagerait des tâches que nous sommes dans l’incapacité de faire.
Nous avons décidé de créer un poste pour toi de directrice des relations extérieures.
Tu connais le milieu mieux que quiconque.
Tu vivras à l’étage supérieur de ce manoir.
Il y a un logement où tu pourras te faire à manger, ça c’est à ta charge, mais attention, on tient à ce que tu gardes ta taille de jockey.

Tu auras une voiture de fonction et bien sûr terminé ces jeans, tu seras habillée chez les meilleurs couturiers de Paris.
Chaque semaine tu auras une coiffeuse à domicile qui s’occupera de ta jolie chevelure blonde.
Bref il faudra que tu sois séduisante.
Voiture de fonction mini Cooper, Mercedes ou Audi, voire coupé sport à ta disposition.
Essence et assurance à notre charge.
De plus, si la plupart de tes frais sont prises en compte, un fixe de 2 000 € te sera versé sur ton compte chaque mois.
- Merci monsieur Lucas, je ferais tout pour vous satisfaire.
- Pas si vite Betty, il reste une dernière clause à tout ça.
- Laquelle, je suis sûr de l’accepter, je suis dans la panade, mon assurance refuse de me payer, car la course a été déclarée conforme.
- Quand tu vas la connaître, tu refuseras peut-être toutes nos propositions.
Tu as perdu la cravache d’or, nous te proposons de gagner des cravaches d’or.
- Comment !
- Dans ton travail de représentation, tu seras amenée à rencontrer des hommes fortunés qui sont propriétaires de chevaux, ils t’emmèneront dans les plus beaux palaces et ils t’offriront une cravache d’or.
Tu devras les suivre dans leur chambre et satisfaire toutes leurs envies.
Ces cravaches font de 200 à 400 grammes d’or pur.
En plus de l’objet d’art, l’or au cours du jour est d’environ 6 000 € les 100 grammes.
Plus elles seront lourdes et plus l’homme que tu suivras pourra profiter de ta beauté.
Si tu savais le nombre m’ayant demandé si tu étais farouche quand tu montais pour eux, tu serais étonnée.
Beaucoup sont mariés, il va sans dire que ces soirées seront dans leur partie visible très professionnelle d’où le train de vie que nous t’offrons.
Chaque fois que tu toucheras une cravache, mes associés et moi réaliserons une très bonne affaire et toi aussi.
- Vous me proposez d’être votre pute monsieur Lucas.
- Non, simplement notre escorte girl, une dernière chose, dis-moi, es-tu vierge.


Je me lève et je me rends vers la porte.

- Prends ton temps Betty, réfléchi bien à ce que nous te proposons !
Lorsque tu reviendras dans ce bureau nous parlerons de ce point de détail avant de signer notre contrat.
Tu as trois jours.
- S’il m’est impossible de courir, vous pouvez toujours vous asseoir sur votre proposition.

Je claque la porte.
De retour dans ma chambre, je m’oblige à éviter de penser à cette proposition indécente.
Non pas que je sois vierge, même si monsieur Lucas, m’a demandé si je l’étais.
Une fois, une seule fois j’ai fait l’amour avec Cyril, le lad de Frémis, poulain que j’ai monté pour sa première course et que nous avons gagné ensemble.
C’est dans la réserve à foin qu’il a réussi à m’entrainer sous couvert de descendre du foin comme nous le faisons régulièrement.
Ça m’a piqué les fesses une fois mes bottes et mon jean enlevé, mais malgré la légère douleur, mon sexe s’est trouvé débarrasser de cette membrane.
La jouissance m’a fui, mais j’ai eu moins mal que les quelques pouliches que j’ai vu se faire saillir depuis que je suis dans ce haras de Normandie.
Cyril qui devait lui aussi faire ça pour la première fois m’a épargné de me mordre à l’encolure comme le font souvent les étalons, mais a bavé sur ma figure pendant qu’il me pilonnait.

Je reste prostré pendant le reste de la journée, je regarde par la fenêtre Cyril fait travailler un cheval que j’ai déjà monté.
Je suis à deux doigts de lui dire de venir me rejoindre pour me monter de nouveau, je serais une piètre cavalière alors je vais me recoucher.

- Bonjours monsieur Lucas, merci de me recevoir, si je suis devant vous, c’est que j’accepte.
- Tu es là, vient me sucer la queue, pour moi ton petit cul ce sera gratuit.
Inutile de te dire que si ma femme se doute que la jeune femme que j’héberge dans l’aile nord de notre manoir est une escorte, le milieu des courses te sera à jamais fermé.


C’est ainsi que je signe mon contrat.
C’est la première fois que je suce comme je l’ai vu dans des vidéos, quand monsieur Lucas décharge dans ma bouche, il m’oblige à tout avaler.

- Prends l’habitude d’avaler le sperme de tes clients, ceux qui t’offriront une cravache d’or de 400 grammes, te demanderont bien pire.
Beaucoup de ces hommes riches qui te recevront dans leur lit sont de ceux qui veulent que même leur sperme serve à quelque chose.
Va voir notre gouvernante Marita, elle va t’installer, elle fait partie de notre organisation.
Inutile d’essayer de là corrompre, on la paye aussi bien que toi, mais toi ce seront des cravaches d’or.
C’est bon pour aujourd’hui ma femme va bientôt être de retour, Marita sait que tu vas arriver.
- Vous saviez que j’accepterais !
- Qui peut résister à l’appel de l’or, regarde aux Amériques, les pionniers s’entretuaient pour le moindre gramme de ce métal.
Pourquoi pouvais-je penser que tu étais différente.
Pourquoi crois-tu que tous les hommes puissants sur cette terre vivent ?
L’or et le sexe, l’or ils l’ont le sexe tu vas leur donner, tu es ravissante.
- Merci monsieur de m’aider.

Pour m’aider, il m’a aidé, j’ai eu une cravache de 200 grammes pour mon premier soir, avec un repas dans un palace parisien.
Robe du soir, j’en ai plusieurs dans mes armoires.
Je suis toujours nue dessous, c’est préférable, toute culotte marquerait et serait disgracieuse.
Repas fin, je sens que si je continue je vais prendre du poids même si je me suis mise à courir chaque matin en attendant mes robes qui sont en confection.
À partir de ce soir, je deviens végétarienne, ça m’évitera les repas trop copieux.

- Merci pour cette soirée madame, je suis dans la chambre 223 au deuxième étage.
- Ça tombe bien je suis dans la 224 au même étage.
Lorsque je me suis installée, j’ai vu qu’il y avait une porte de communication.
Il va sans dire qu’elle sera ouverte.
- J’y compte bien, monter, ça protégera votre réputation, les gens penseront que nous avons mangés en amis.
Je vais aller au bar avant de rejoindre ma chambre, vous avez une heure pour vous préparer.
Vous mettrez la tenue que j’ai demandée à Marita de vous faire porter.
Quand je vous ai vue sur le champ de courses, j’ai su que nous aurions l’occasion de nous revoir et vous voilà.

Il me fait un baisemain et tourne les talons, son ton et son allure nous montrent ses origines teutonnes.
Je sais qu’il est berlinois et possède quatre chevaux que monsieur Lucas entraîne.
J’ai monté sous ses couleurs violines dans une de mes premières courses.
J’avais fini deuxième, je sais que cette course lui avait rapporté un grand paquet d’oseille.
Quand je frappe à sa porte habillée en jockey avec ses couleurs sur le dos, ma cravache en or en main, je sais qu’en ressortant de cette chambre je serais définitivement une putain.

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